Costa Rica

16 avril - 04 mai 2005

Samedi 16 avril 2005 :

[Sarah] J1, H+8 = arrivée folklorique à Caracas... mais pas à San José ! Le ratage de l'avion, ça arrive à tout le monde, même aux meilleurs... Consolation autour d'une Brahma, et d'une Polar... Premier mots d'espagnol pour moi (il y a des progrès à faire).

Impressions premières du Vénézuéla très sympathique (NB, penser à y vivre quelques temps un jour). Petite halte donc à "playa grande". Demain on devrait être au Costa Rica si tout va bien. Bon je laisse la plume à d'autres en attendant le churrasco Especial de la Casa.

[Emma] Resto de l'hotel IL PREZZANO, bon petit repas pour nous remettre de nos émotions de la journée. Ca commençait bien pourtant... Billy nous a emmené à l'aéroport, enregistrement sans encombres, dégustation de Toblerone duty free dans la salle d'embarquement...

Encore naifs, on ne se doutait pas de ce qui nous attendais à Caracas.... A peine arrivés sur les terres vénézuéliennes, nous nous dirigeons sagement vers le comptoir d'aide au passager pour connaitre la marche à suivre pour notre connection vers San José. On nous informe que comme les baggages arrivent de l'autre côté de la douane et que comme nous sommes en transit, quelqu'un s'occupe de les récupérer pour nous... Très bien... on n'a donc rien à régler et on va porter 22 attendre notre avion.

Une petite faim se faisant sentir, nous commandons 3 paninis pour la troupe que nous retournons manger porte 22 face au mec de l'aéroport, stoïque devant derrière son guichet. Au bout d'un moment quand même, je vais le voir pour savoir si c'est bien là qu'il faut attendre. Il me répond qu'il est trop tard pour embarquer, que l'avion est encore là mais qu'on aurait du enregistrer plus tôt au lieu de manger nos paninis ! Super ....

Et nos baggages, ils sont dans l'avion ? Ah ben non, ils ont oublié aussi de les apporter. Bon ben ça tombe bien... Retour case départ au comptoir d'aide au passagre. Heureusement, une très gentille dame nous prend en charge. Elle s'occupe de tout : récupérer les sacs, réserver le même avion pour demain, nous trouver un hôtel pas cher, nous dégoter des astuces pour ne pas qu'on ait à payer la taxe d'aéroport, ni la pénalité pour avoir raté l'avion. Sympa les vénézuéliens !

Nous voilà donc dans notre hotel a attendre jusqu'à demain. Une cage de perroquets juste derrière notre chambre nous fait la conversation :)

La suite...

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